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Quel parent d’élève êtes-vous?

DIFFICILE D’AIDER SON ENFANT. BESOIN D’UN COACHING SCOLAIRE?

Répondez à ce test et consultez nous pour avoir notre opinion.

1 – Vous avez passé une partie du week-end à aider votre enfant à réviser une leçon en vue d’un contrôle important. Mais il vous confie en rentrant à la maison avoir perdu ses moyens pendant l’examen.
– Vous ne comprenez pas ce qui s’est passé. Il semblait avoir compris se…s leçons, vous l’aviez vérifié. Vous êtes presque inquiet(e).
– Vous lui demandez ce qui s’est passé, faites le point avec lui et le remotivez pour que ça ne lui arrive plus.
– Vous demandez des précisions sur le contenu de ses réponses, relativisez l’évènement et l’aidez à se concentrer sur la prochaine échéance.
– Vous le consolez en lui disant qu’il n’y a pas mort d’homme…
2 – Vous êtes en vacances, au bord de la piscine, entouré(e) de vos enfants et de ceux des autres, famille ou amis. Vous seriez plutôt du genre à :
– Vous prélasser avec délice en les regardant tous s’amuser après ces longs mois d’école.
– Lancer un concours de plongeon ou de record d’apnée avec récompense au meilleur.
– Alterner temps pour vous (lecture, bronzette,…) et des temps avec eux autour d’activités qui leur plaisent.
– A penser à la rentrée qui va arriver vite et à tous ces devoirs de vacances qui leur restent à faire.
3 – Réunion de famille ou fête entre amis, les enfants se sont lancés dans un jeu. L’un d’entre eux déclare aux adultes que « votre enfant est mauvais joueur et qu’en plus il est trop nul et il a perdu».
– Pincement au coeur, dialogue intérieur « Pourquoi il vient cafter celui-là! Ce n’est pas vrai qu’il est mauvais joueur! Il aurait pu faire un effort pour gagner, ça ne doit pas être si compliqué… »
– Vous le félicitez pour son éclatante victoire et l’invitez à rejouer pour laisser sa chance aux perdants.
– Vous souriez en lui rappelant que ce n’est qu’un jeu.
– Froissé(e) dans un premier temps, puis intérieurement « c’est toujours mieux de perdre à un jeu de société que d’être nul à l’école ».
4 – À quelle fréquence vous arrive-t-il de comparer les notes obtenues par vos enfants à celles des autres de sa classe ?
– Très souvent, pour ne pas dire systématiquement.
– Ça m’arrive, surtout quand les résultats ne sont pas trop bons.
– Pas souvent, ce sont surtout les leurs qui m’intéressent et pas ceux des autres.
– Ce sont eux qui me le disent spontanément.
5 – « Viser la perfection est gage de réussite ». Votre opinion à froid :
– Tout à fait d’accord. Il faut toujours se fixer des buts élevés pour atteindre un résultat qui le sera forcément moins par essence.
– Pas si sûr… La poursuite d’un idéal inatteignable peut nous conduire dans l’impasse.
– Non, la perfection nuit à la victoire. C’est même une pensée plutôt contre-productive.
– De quelle réussite parle-t-on ? C’est quoi la perfection en amour, avec les autres, dans son rapport à soi ?
6 – Que pensez-vous du système des mentions aux examens ?
– Les mentions restent un gage d’excellence et de sélection notamment pour les admissions aux grandes écoles.
– Les mentions offrent une gradation dans les résultats et illustrent les élèves qui ont plus ou mieux étudié que les autres.
– Les mentions font plaisir sur l’instant, au jeune et à sa famille mais ne sont pas un indicateur de la réussite professionnelle ou personnelle à venir.
– Les mentions font la différence entre les meilleurs et ceux qui les suivent.
7 – Vous possédez une baguette magique. Vous transformez votre enfant en :
– Un enfant supérieurement intelligent, particulièrement érudit, qui rafle tous les prix et les honneurs au long de son cursus et fait, bien entendu, votre plus grande fierté. Il est sage et consciencieux.
– Un petit génie, intuitif et malin, curieux, avide d’expériences et de nouveautés, et qui cherche à en faire le moins possible pour le plus de résultats.
– Un enfant brillant et heureux qui réussit sa scolarité avec brio et avec le sourire, et qui plus tard pourra se donner le choix d’un métier épanouissant et intéressant.
– Un enfant qui réussit tout ce qu’il entreprend, que ce soit à l’école ou ailleurs.
8 – Qu’auriez-vous envie de répliquer au baron de Coubertin et à son célèbre « L’important, c’est de participer » :
– Erreur, l’important, c’est de gagner!
– Vrai ! La rencontre sportive est avant tout une rencontre avec les autres et avec soi-même.
– Il a raison, mais qu’il n’avait pas prévu le dopage…
– C’est une pensée pratique : comme cela, on n’est jamais perdant.
9 – Votre enfant ne comprend les consignes d’un exercice, et malgré votre explication et la relecture de la leçon, ne parvient toujours pas à le faire. Vous vous dites :
– Il doit y arriver, peu importe le temps qu’il y passe.
– Ça ne doit être si compliqué que ça. Si son instituteur ou son professeur le lui a donné, il sait ce qu’il fait.
– Le professeur ou l’instituteur n’a pas peut-être pas suffisamment expliqué. Vous lui conseillez de demander des explications le lendemain.
–  C’est peut être trop difficile pour lui, le professeur ou l’institutrice attend trop des enfants, c’est décourageant.
10 – Un mauvais bulletin arrive et vous n’avez eu aucun signe avant-coureur. Réaction à chaud :
– C’est une catastrophe! Il faut que tu remontes tes notes…
– Tu n’as pas assez bossé. Finis les sorties, DVD, ordinateur…
– Là, on a touché le fond…
– Que s’est-il passé ? il faut que tu te ressaisisses au plus vite!
11 – Quelle est la mission ultime de l’école d’après vous ?
– Instruire, éduquer, former des citoyens, acteurs de la société de demain.
– Transmettre des connaissances et des techniques, aider les enfants à penser par eux- même, développer leurs esprits critiques.
– Garantir les conditions d’un emploi pour l’avenir, rééquilibrer les différences individuelles et sociales, enseigner aussi la vie en collectivité et le respect de l’autre.
– Préparer aux mieux les enfants au monde de demain en développant leur polyvalence.
12 – Pensez-vous qu’un enfant peut réussir sa vie future en ne réussissant pas bien à l’école ?
– Oui, c’est possible. L’école n’est pas le lieu d’apprentissage de la vie et de nombreux témoignages rapportent qu’il n’y a pas forcément de lien entre avoir été un bon élève enfant et être heureux adulte.
– Oui et non. Il est préférable d’avoir une formation scolaire minimum mais bien d’autres compétences sont nécessaires pour réussir sa vie que l’on ne trouve pas dans les livres et que l’on peut apprend autrement.
– Franchement non, compte tenu de la précarité du monde du travail, du coût de la vie et des exigences de plus en plus élevées en terme de qualification et de formation.
– Je ne pense pas, parce qu’un enfant qui ne réussit pas à l’école n’aura pas le goût ni les méthodes pour réussir dans d’autres domaines.
13 – Votre enfant rentre de l’école, l’air contrarié. Il s’avère qu’il s’est fait reprendre par l’enseignant devant toute la classe pour un motif vraisemblablement injuste. Votre réaction :
– Vous essayez de comprendre la situation, la réaction du professeur et celle de votre enfant. A vrai dire, vous ne vous affolez pas. Parfois les adultes peuvent être terriblement injustes et vous tente
– Vous avez quand même du mal à retenir votre agacement et projetez de rencontrer l’enseignant ou d’écrire un mot sur le carnet de correspondance pour lui dire ce que vous pensez de ses méthodes éducatives.
– Difficile déjà de savoir si votre enfant n’a pas omis un petit détail qui offrirait une lecture complètement différente de la situation… – Vous avez tendance à donner raison aux professeurs.
– Vous le consolez et le réconfortez afin qu’il oublie ce mauvais incident.
14 – Pour vous, un bon prof, c’est quelqu’un qui donne avant tout :
– Envie.
– Des savoirs.
– Des savoir-faire.
– Des encouragements
15 – La veille de la rentrée des classes, vous êtes plutôt du genre à :
– Faire quelques emplettes et l’aider à préparer ses affaires si nécessaire.
– Discuter avec lui sur les futurs enseignants et les copains qu’il va retrouver dans sa classe.
– A le plaindre, « eh oui les vacances sont finies pour tout le monde »
– Parler déjà des programmes et des matières à travailler préférentiellement.
16 – Votre enfant (quel que soit son âge) vous annonce fièrement qu’il a eu la meilleure note à un contrôle très difficile.
– Vous le félicitez, il faut toujours encourager son enfant, pour les succès comme pour les échecs.
– Vous lui dites que vous êtes fier(e) de lui.
– Vous le félicitez mais n’en faites pas tout un plat
– Vous le félicitez vivement et l’encouragez à continuer ainsi.
17 – Vous découvrez un 0/20 dans le relevé de notes. A choisir, vous préféreriez que ce soit pour :
– Insolence envers le professeur.
– Triche sur le voisin.
– Exercices non faits.
– Exercices incompris.
18 – Votre enfant sollicite votre aide pour l’aider à réviser un chapitre assez compliqué dans une matière qui lui tient à cœur.
– Vous êtes sur le qui-vive : malgré votre emploi du temps, vous avez préparé quelques recherches documentaires et l’interrogez à fond sur les notions-clefs et les détails aussi.
– Vous lui demandez spontanément ce qu’il peut vous dire de la leçon en organisant sa pensée puis essayez de travailler avec lui les articulations importantes en les replaçant dans un contexte plus large.
– Vous l’aidez en l’interrogeant, mais selon ses directives, à vrai dire, il connaît ce domaine mieux que vous !
– Vous lui faites faire une interrogation par écrit en temps limité pour le préparer pour le lendemain.
19 – Quelques heures avant une échéance importante pour votre enfant (contrôle, examen, audition, concours, permis?), quelle pensée vous trotte dans la tête :
– Ca va aller, il/ elle a fait ce qui fallait pour ça.
– Il/ elle a des ressources, mais pourvu que ça aille ! On ne peut jamais savoir…
– J’espère qu’il/elle ne va pas échouer….
– Il/elle va réussir, c’est obligé
20 – Vous pensez que les enfants réussissent avant tout grâce à :
– Leur ambition.
– Leur travail.
– Leurs facilités.
– Leur rigueur.

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